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Les auteurs :

Direction de Luc Gwiazdzinski / Florent Cholat
Préface de Theodore Zeldin
Contributions de Nele Claes, Arnaud Carré, Annique Smeding / Matteo Colleoni, Alice Spada / Ani Drăghici / Giovanni Leontini, Walter Ornaghi, Susanna Ragno / Marie-Françoise Olivier, Thierry Delavet / Iuliana Florina Pandelica / Sidonie Rancon / Cristina-Nicola Teodorescu, Daniela Dincă.

Que dire de L’Espace public artisanal et de Tourisme sportif ?

Ces deux titres sont un peu différents. Ils sont « apportés » par Thomas Riffaud qui, à l’époque est sociologue et maître de conférences à l’université de Nîmes. Il est membre du laboratoire APSY-v (Activités Physiques et Sportives et processus PSYchologiques et vulnérabilité) de l’université de Nîmes. Il est également chercheur associé au sein du laboratoire Territoires, Villes, Environnements et Sociétés (TVES, EA 4477) rattaché à l’université de Lille et l’université du Littoral Côte d’Opale. Ce dernier rattachement nous vaudra d’être connus de cette université et recommandés à Sophie Cauwet, l’auteur de l’ouvrage qui ouvrira la nouvelle collection Les Mieux communs en 2024.

L’Espace public artisanal (opus#8) sort de l’ordinaire de la collection puisque c’est un titre individuel relatif au travail personnel de Thomas Riffaud. La préface est de Thierry Paquot et la direction éditoriale de Luc Gwiazdzinski, directeur de la collection l’innovation autrement.

Tourisme sportif (opus#9) quant à lui est un ouvrage collectif dans la logique de la collection. Les auteurs rassemblés viennent des 4 coins de la planète, la préface est de Luc Gwiazdzinski, et il a été réalisé sous la direction éditoriale de Thomas Riffaud, Nathalie Le Roux et Eric Perera. On revient dans l’ADN de la collection. Nous sommes assez fier de la couverture elle aussi dans la lignée de la collection. D’ailleurs, pour ces 2 ouvrages, les photos de couverture sont de l’auteur Thomas Riffaud. L’identité de la collection se construit aussi autour des couvertures des différents titres.

Et que dire de Berlin est une gare de Gilles Rabin ?

L’édition est un artisanat et une histoire de relations humaines. Cette histoire se construit sur des amitiés existantes, ici celle de Luc et Gilles et s’enrichit des histoires de vie de chacun.
Mais cette histoire s’étoffe également d’autres vies, d’autres relations qui viennent s’agréger aux premières, chacune avec leur identité propre. Et même jusqu’à celles de lecteurs occasionnels.
Je vous raconterai peut-être une autre fois les histoires qui me viennent autour de l’ouvrage Berger parmi les justes de Edmond Cohen…

Mais pour l’heure, et pour les lecteurs assidus qui sont restés à me lire jusqu’ici je voudrais vous partager ce mail d’une lectrice de Berlin est une gare : Mireille de Marseille.
Après le signalement de 2 ou 3 remarques sur la forme (dont 2 corrections ayant échappé à le relecture), Mireille nous écrit ceci :

J’ai appris beaucoup de choses en lisant cet ouvrage, qui, lors d’un prochain séjour à Berlin, me conduira sans doute à porter un regard un peu différent sur les gares berlinoises évoquées dans ce texte. Comme tous les livres intéressants, celui-ci donne envie d’aller plus loin. Je regrette de ne pas lire l’allemand et donc de ne pouvoir me plonger dans les textes répertoriés dans la biographie, dommage !
Je terminerai en formulant deux vœux : que Gilles Rabin se penche maintenant sur Gleisdreieck à Berlin car je suis sûre qu’il écrirait un livre passionnant ! Et puis – mais je plaisante car tous les avis sont évidemment recevables ! – qu’il ne considère plus Les Ailes du désir comme un film « long et parfois ennuyeux ». C’est sans doute un des plus beaux films de Wenders !!!
Bien à vous,
Mireille (Marseille)